27 janv. 2014

Barcelone - Notre arrivée...

Un vol sans problèmes sur United qui nous a paru plutôt rapide. Gavés d'Ativans, on s'est assuré de dormir dans l'avion pour éviter de se retrouver dans la même situation qu'à Lisbonne, en octobre dernier. (complètement épuisés par le décalage horaire à notre arrivée, on se trainait de peine et de misère dans le lobby de l'hôtel en attendant que notre chambre se libère).
J'ai eu au contraire l'impression d'être frais comme une rose à mon arrivée à Barcelone, tôt en matinée. On a laissé nos valises en consigne à l'hôtel et on a aussitôt longé la Rambla, cette célèbre allée bordée de commerces et de restos qui s'étire jusqu'au port. 
 Le soleil commençait peu à peu à prendre sa place, et je dois dire que passer de -20 degrés à +20 en quelques heures fait toujours son effet... 
 Je pense qu'on s'est vite senti en vacances et qu'on a décroché de notre réalité hivernale québécoise en très peu de temps...



Anne, savourant le premier d'une longue série de cafés con leche (cafés au lait) sur terrasse...


photos du haut et du bas: vue de notre hôtel, le Moderno, à un coin de rue de la Rambla.







Arc de Triomf... version catalane!


Première promenade dans le quartier " Barrio Gotico".




Le Mercat de la Boqueria
Un immense marché recouvert... à éviter absolument quand on a le ventre vide!.... des rayons et des rayons de jambons, fromages, fruits et légumes aux couleurs vives, une panoplie sans fin de nougats, de chocolats et de pâtisseries... en cas de guerre nucléaire, c'est là qu'il faut se réfugier... 









Anne en mode "dégustation"


Anne en mode "fin d'après-midi frais"... 
une chance qu'on a prévu le coup en apportant quelques épaisseurs supplémentaires... au risque de faire pitié, chers amis québécois, le mercure tombe parfois à 5 degrés en soirée!!!



Anne en mode "vino y tapas"... 
si les locaux sortent souper après 22h, notre décalage horaire ne nous a pas permis de tenir le coup aussi longtemps... heureusement, on a quand même 5 mois pour s'habituer... on va coucher ces espagnols les uns après les autres d'ici juin. Promis!

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